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Alexander Scholz est en train de renaître à Bruges. Transféré cet hiver, le défenseur de 25 ans est revenu pour la première fois sur sa période rouche dans le Laatste Nieuws. Il y tacle Ricardo Sa Pinto, le seul entraîneur avec qui il ait eu des problèmes en bord de Meuse.
"Quand je regarde ma période au Standard, je trouve que je suis tout sauf un remplaçant", explique-t-il. "Je n'étais sur le banc qu'à la fin, avec un seul coach. Je ne sais pas quelle était la raison. Je ne m'entraînais même plus à ma position. Pendant la semaine et même pendant les matchs, on m'a utilisé comme milieu de terrain. C'était très bizarre. Je ne pouvais pas l'accepter et je devais partir".
Le déclencheur de cette situation remonte à la correction subie par le Standard face à Bruges, le 27 août dernier. La gestion du coach était cependant loin d'être parfaite, selon le joueur. "C'était un de mes plus mauvais matchs. Tu peux mettre quelqu'un à côté de l'équipe et l'utiliser parfois mais tu peux aussi écarter complètement quelqu'un. Je n'ai plus reçu de temps de jeu sauf lors de ce match contre Eupen en janvier. Je savais que mon temps était fini au Standard".
Son arrivée à Bruges était attendue, son retour en forme également. Tout va bien pour le joueur, qui peut dorénavant clore son chapitre liégeois.
