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"Nous ne sommes pas une partie impliquée dans les discussions entre l'Union Saint-Gilloise et Faïz Selemani, où le salarié a rompu son contrat de travail en raison d'une faute grave de son employeur. Nous avons l'impression que l'Union veut nous faire porter le chapeau pour ses erreurs", a expliqué Leterme.
"C'est l'Union Saint-Gilloise qui a donné aux agents de sécurité l'instruction de refuser l'accès des installations du club au joueur et qui lui a interdit de s'entraîner. Le joueur a résilié son contrat de travail en raison d'une faute grave de son employeur. Selemani réclamera des dommages et intérêts devant le tribunal du travail compétent et ne versera pas d'indemnités de départ comme il est d'usage en vertu de la loi de 1978."
L'Union avait renvoyé Selemani dans le noyau B la semaine passée, suite à quoi le Comorien a rompu unilatéralement son contrat. Courtrai l'a récupéré quelques jours plus tard gratuitement.