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L'aide vidéo à l'arbitrage (VAR) fera ses grands débuts mardi à l'occasion des premières rencontres des huitièmes de finale de la Ligue des champions de football. Roberto Rosetti, qui dirige le département des arbitres de la confédération européenne de football (UEFA), a confirmé lundi que le VAR utilisera la dernière technologie 3D.
"Réduire le nombre de mauvaises décisions"
Rosetti a d'abord répété que le VAR n'interviendrait que s'il y avait une erreur claire et évidente d'arbitrage. Comme d'habitude, le VAR ne peut intervenir que dans quatre situations de match : but, décision sur un penalty, carton rouge direct et erreur d'identité. "La technologie 3D la plus moderne aidera le VAR à prendre des décisions sur les hors-jeu", a déclaré l'ancien arbitre italien sur le site de l'UEFA. "Nous sommes confiants que cela aidera les arbitres et réduira le nombre de mauvaises décisions. Cela profite certainement à la compétition. Les arbitres sont également très positifs à ce sujet. Ils se félicitent de toutes les mesures qui garantissent que la bonne décision soit prise."
"Le jugement de l'arbitre devrait devenir plus clair"
Rosetti prend également des mesures pour rendre les décisions du VAR plus transparentes pour le public dans le stade et les téléspectateurs. Il arrive parfois que les fans ne comprennent pas toujours clairement ce que le VAR analyse et pourquoi l'une ou l'autre décision est prise. "Quand l'arbitre passe en revue une phase, l'information apparaît sur les écrans du stade et à la télévision. De cette façon, le jugement de l'arbitre devrait devenir plus clair pour tout le monde. Nous voulons que les révision soient aussi efficaces que possible, mais une décision correcte est bien sûr beaucoup plus importante qu'une décision rapide."
