Accueil Sport

Red Flames - Tessa Wullaert estime que la défaite en Suisse "n'est pas encore digérée"

(Belga) Les Red Flames affrontent la Lituanie mardi à Marijampole pour le compte de la 7e et avant-dernière rencontre de qualification en vue de l'Euro 2022 de football féminin. Lanterne rouge, les Lituaniennes ne devraient pas poser de problèmes aux Belges, mais pour Tessa Wullaert, la défaite en Suisse (2-1) il y a un mois n'est cependant toujours pas digérée.

La Belgique occupe la 2e place du groupe H avec 15 unités pour 16 à la Suisse que les filles de Ives Serneels accueillent à Louvain le 1er décembre. Le vainqueur du groupe est qualifié d'office pour la phase finale en Angleterre, mais seuls les trois meilleures deuxièmes des neuf groupes passent aussi directement. Les autres deuxièmes de poule seront forcées de jouer un barrage. "La préparation se passe bien", a expliqué Tessa Wullaert samedi à Tubize. "Nous sommes ensemble depuis une semaine. Notre prestation en Suisse était insuffisante. On en a beaucoup parlé durant cette semaine. Notamment sur les phases arrêtées. Il faudra jouer en Lituanie comme lors de notre deuxième période en Suisse. Nous n'avions pas été assez proactives en première mi-temps, nous avions joué trop en réaction. Du coup, on s'est retrouvées menées 2 à 0. On voit que beaucoup de filles n'ont pas encore digéré cette défaite. Et moi en premier. J'étais vraiment très déçue. Maintenant, il faut pleinement se concentrer sur la Lituanie. Après seulement, on regardera le prochain match contre la Suisse chez nous. Seuls les trois points compteront mardi". Lors du match en Belgique, les Red Flames avaient cartonné 6 à 0 avec cinq buts de Tine De Caigny. "La Lituanie n'est certainement pas l'adversaire le plus difficile, mais il faut attention. On ne sait par exemple pas encore quel sera l'état du terrain. De toute façon, il n'y aura pas d'excuse valable, nous devons gagner", a ajouté Tessa Wullaert, 27 ans, revenue en Belgique, à Anderlecht, après son aventure à Manchester City. "Je ne regrette absolument pas ma décision de revenir en Belgique. Je prend du plaisir tant sur que en dehors du terrain, pour moi c'est plus important que le niveau. Et puis il y a la situation avec le coronavirus. Celles qui jouent à l'étranger ne peuvent plus que difficilement recevoir la visite de la famille ou des amis." (Belga)

À lire aussi

Sélectionné pour vous