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Déconfinement: à quand le retour des compétitions sportives AVEC PUBLIC? Un plan serait prêt

Het Laatste Nieuws rapporte jeudi que le ministre flamand en charge du Sport, Ben Weyts (N-VA), et ses collègues au sein des autres communautés auraient un plan prêt pour que des événements sportifs de masse soient à nouveau possible à partir du 1er septembre, rapporte Het Laatste Nieuws jeudi. Le ministre a confirmé l'existence de ce plan qui doit encore être approuvé par le Conseil national de sécurité.

Le Conseil national de sécurité a décidé que toutes les compétitions sportives seraient suspendues jusqu'au 31 juillet, mais le ministre Weyts et ses collègues pour les autres communautés auraient déjà un plan pour la suite. Selon eux, des événements de masse seraient possibles à partir du 1er septembre, comme le Tour de Flandre ou le Mémorial Van Damme, mais aussi des compétitions de football sans public, sous certaines garanties. Le plan, soutenu par toutes les fédérations sportives, serait mis en place par phases.

Des entraînements à partir du 18 mai

Les entrainements pourraient reprendre le 18 mai sans contact physique et les entraînements de natation à partir du 1er juin. Les virologues doivent encore donner leur approbation, ce qui pourrait survenir la semaine prochaine. "Je regrette que cet avis ait été divulgué, mais je dois confirmer que c'est la proposition que nous avons faite après avoir consulté le secteur du sport et les autres Communautés", a déclaré le ministre Weyts dans sa réaction. "Nous n'avons pas cédé à l'appel des fédérations et des clubs qui demandent un statut exceptionnel pour leur propre sport. Au lieu de prévoir un règlement pour chaque sport séparément, nous avons une logique claire : peu importe quel sport, mais comment vous pratiquez votre sport. De cette façon, vous pouvez indiquer pour chaque période de temps comment pratiquer un sport en toute sécurité", explique le ministre N-VA.

Selon Weyts, le point de vue des enfants a été primordial. "Ils pourraient être les premiers à profiter d'un plus grand assouplissement", semble-t-il. "Cette fois aussi, les choix ont été très difficiles. Il ne fait aucun doute que ce sera ici aussi et trop, trop peu, trop tôt et trop tard. Mais à un moment donné, il faut oser prendre ses responsabilités. Le Conseil de sécurité n'a pas encore examiné ce plan. Sa mise en oeuvre dépend de l'avis des virologistes et de l'évolution de la propagation du virus".

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