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Les Belges veulent voir Paris et "avoir des étoiles dans les yeux" pour Aisling D'Hooghe

La seule et unique participation des hockeyeuses belges aux Jeux Olympiques date de 2012 à Londres. Elles sont quatre Red Panthers à avoir vécu cette aventure soldée par une 11e place: Aisling D'Hooghe, Barbara Neven, Alix Gerniers et Judith Vandermeiren.

La Belgique va tenter à Valence du 13 au 21 janvier lors du tournoi de qualification pour les JO de Paris d'obtenir un ticket pour la seconde fois. "Nous sommes toutes très motivées et tellement de choses ont changé depuis Londres", a expliqué Aisling D'Hooghe lundi à l'aéroport de Bruxelles-National, et qui, à 17 ans, avait défendu les buts belges dans la capitale londonienne. "C'est vrai que les jeunes nous posent beaucoup de questions sur 'comment c'était ?'et 'ça vous avez fait ?' sur plein de choses. On voit dans leurs yeux des étoiles comme nous, on a pu en avoir aux JO. Forcément, on veut revivre ça", a ajouté la Waterlootoise.

Après deux échecs pour rejoindre les JO de Rio 2016 et de Tokyo 2020, la Belgique est cette fois mieux armée. "Sur tous les plans, technique, tactique et physique", confirme Aisling D'Hooghe. "Il faut savoir que depuis le début de l'année, nous nous entraînons ensemble tout le temps, du lundi au vendredi. On ne rejoint notre club que le vendredi. Cela offre de très nombreux avantages et nous fait progresser énormément". Un système qui a fait ses preuves chez les Red Lions, champions olympiques, qui doivent valider aussi à Valence leur billet pour Paris, pour leurs 5e JO.

"La différence aussi est dans la mentalité. On a une jeune génération très talentueuse, motivée, qui fait beaucoup de progrès et qui ne doute pas. Le groupe est intelligent et conscient de sa valeur. Cela nous a déjà permis d'obtenir de beaux résultats. Cela va nous aider pour aller à Paris."

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