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À l'approche du grand départ du Circuit Het Nieuwsblad samedi, les organisateurs ont exprimé l'espoir de voir la course se dérouler sans encombres. Dans le contexte actuel, "certaines personnes pensent pouvoir exprimer leurs revendications pendant la course", ce qui représente un potentiel danger pour les coureurs et les personnes impliquées dans l'épreuve.
Mercredi, le match entre La Gantoise et le club israélien du Maccabi Haifa a été joué à huis clos. Le bourgmestre de Gand avait pris cette décision pour des raisons de sécurité, afin de neutraliser les potentielles actions de protestation liées au conflit israélo-palestinien. De telles mesures ne peuvent cependant être appliquées dans le cadre de la première classique belge de la saison.
"Nous, organisateurs, nous sommes évidemment rassemblés avec les autorités et les instances concernées. Jusqu'à présent, tout se passe normalement", a commenté Tomas Van den Spiegel de Flanders Classics, l'organisateur du Nieuwsblad. "Malheureusement, certains facteurs demeurent imprévisibles", a-t-il regretté. "Certaines personnes pensent pouvoir exprimer leurs revendications pendant la course. Nous en tenons compte, mais le cyclisme reste public."
"La sécurité est notre priorité", a affirmé Van den Spiegel. "Pas seulement pour les coureurs, mais pour toutes les personnes qui sont impliquées dans le Circuit Het Nieuwsblad. La course a lieu demain, et nous n'avons reçu aucun signal indiquant que des personnes voulaient la perturber", a-t-il conclu.
