Accueil Actu

Grèves sauvages des TEC: les auteurs ont du souci à se faire

C'est une pratique qui coûte de l'argent à l'État, aux Régions en l'occurrence. Les grèves spontanées dans les transports en commun, plus souvent appelées grèves sauvages. La commission transports du parlement wallon va examiner un texte qui prévoit des sanctions de la retenue de salaire au licenciement

Au Parlement Wallon, en commission transport, il sera question des grèves sauvages dans les TEC. Les députés se penchent actuellement sur un projet de résolution qui permettrait de sanctionner les responsables de grèves spontanées. Cet après-midi, place aux auditions de différents partenaires. Parmi eux, des syndicats des cheminots. Pour Michel Abdissi, de la CGSP, une négociation au sein de l'entreprise comme c'est le cas à la SNCB, est préférable à une loi: "On confond généralement la grève émotionnelle et la grève dite sauvage. Nous avons obtenu un accord avec nos différents responsables de façon à pouvoir expliquer à nos patrons que lorsqu’il y a un arrêt de travail lié à une agression par exemple, que nos agents ne soient pas punis puisqu’ils réagissent aux événements. Je vais tenter d’expliquer cette manière de fonctionner aux parlementaires du Parlement wallon."  

À la une

Sélectionné pour vous