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"C’est très conditionnel l’amour": Thierry Lhermitte partage le secret de son mariage qui dure depuis plus de 40 ans

Thierry Lhermitte était l’invité de l’émission 50’ Inside, sur TF1, ce samedi 14 mai. L’acteur français a répondu aux questions de Nikos Aliagas et a partagé sa "théorie sur l’amour", qui permet à son couple de durer depuis plus de 40 ans.

Thierry Lhermitte était l’invité de l’émission 50’ Inside ce samedi 14 mai au soir, sur TF1. Il a accepté de répondre aux questions de Nikos Aliagas, à propos de son couple qui dure depuis plus de 40 ans. L’acteur français file le parfait amour avec Hélène Aubert depuis les années 70. Preuve en est, ils ont même eu 3 enfants : Astrée, Victor et Louise.

"Vous êtes marié à la même femme depuis 40 ans. Il y a un secret ?", lui a demandé Nikos Aliagas dans 50’ Inside. Ce à quoi Thierry Lhermitte a répondu : "Il n’y a pas de secret. Moi, il me semble que c’est de savoir que l’amour n’est pas inconditionnel. L’amour, c'est conditionnel."

L’acteur a ensuite partagé sa "théorie sur l’amour" au présentateur de l’émission. "Quand on est petit, on ne connaît que l’amour de ses parents. En règle générale, ça s’appelle un amour inconditionnel. Bon, et donc on apprend dans ses premières histoires d’amour que ça n’est pas inconditionnel, que c’est très conditionnel l’amour. Donc ça se négocie et c’est temporaire. Temporaire qui peut durer une vie entière, mais ça peut s’arrêter tout le temps. Donc, il me semble que quand on a compris que c’était conditionnel et temporaire, on peut vivre avec ça", a-t-il développé.

Il avait d’ailleurs partagé un autre de ses secrets sur l’amour en 2007, au magazine Gala. Thierry Lhermitte avait en effet révélé qu’il ne fêtait jamais ses anniversaires de mariage avec Hélène Aubert. "On ne le fête pas parce qu'on a peur que ça nous porte malheur. C'est peut-être ça le secret de la longévité d'une relation : penser que ça puisse s'arrêter demain. (…) Dans un couple, en plus de la séduction, qui est nécessaire, il faut aussi qu'il y ait ce sentiment d'insécurité. Ça a du bon…", avait-il expliqué à l’époque. 

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