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J.K. Rowling, autrice de la saga "Harry Potter", menacée de mort: la police "mène une enquête"

Depuis 2020, l’autrice de la saga "Harry Potter" est accusée de transphobie. Elle a été ciblée par des menaces de mort régulières venant de militants. Ce samedi 2 juillet, elle a partagé de nouvelles menaces de mort. Un militant transgenre a incité les utilisateurs de Twitter à envoyer une bombe au domicile de J.K. Rowling.

"L'adresse de ma famille (cachée), une bombe artisanale et une photo d'un manuel de fabrication de bombes", peut-on lire dans une Tweet publiée par l’autrice de la saga "Harry Potter". J.K. Rowling se dit en effet ciblée par des menaces de mort.

Depuis 2020, la romancière est accusée de transphobie après avoir partagé sur Twitter un article évoquant les "personnes qui ont leurs règles", en le commentant ironiquement : "Je suis sûre qu'on devait avoir un mot pour ces gens. Que quelqu'un m'aide. Feum? Famme? Feemm?".

Avec ses propos, elle s’était ainsi attiré les foudres de certains internautes. Elle a notamment été la cible de nombreuses menaces de mort provenant, selon elle, de militants pour les droits des transgenres. Et ce samedi 2 juillet, l’autrice de la saga "Harry Potter" a à nouveau partagé des menaces dont elle a été victime.

Un militant transgenre a incité les utilisateurs de Twitter à envoyer une bombe au domicile de l'auteur. Le Tweet en question contenant l'adresse de sa famille, une bombe artisanale et la couverture d’un manuel de fabrication de bombes. J.K. Rowling a ainsi partagé une capture d’écran de cette menace datant du 14 juin, se plaignant que le compte Twitter de l'activiste "reste actif, naturellement".

Ce samedi soir, une porte-parole de Police de Scotland Yard a confirmé que "les agents mènent une enquête". Fiona McAnena, du groupe de campagne Fair Play For Women, a déclaré au Mail on Sunday : "Le fait que des personnes puissent proférer des menaces de mort publiquement sans être inquiétées est une condamnation éloquente".

Depuis, le profil abusif semble finalement avoir été supprimé pour avoir violé les règles de Twitter.

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