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Une Américaine obtient 7 mois de congé maternité alors qu'elle portait... un FAUX ventre

Un faux ventre, un faux bébé, et même... un faux mari! Cette Américaine a réussi à obtenir un congé maternité de 7 mois en arborant un faux ventre au travail, avant de se faire prendre la main dans le sac.

Cette histoire plus que surprenante nous vient de Géorgie aux Etats-Unis. Robin, directrice marketing d'une agence étatique, a inventé une grossesse et menti à son supérieur et tous ses collègues pour obtenir un congé maternité, rapporte The Mirror. 

Comme dans les films, Robin a acheté un faux ventre, qu'elle portera ensuite durant 6 mois. C'est à ce moment-là que son faux ventre glisse sous le bureau puis atterri devant un collègue, complètement ahuri. Malgré sa surprise, l'homme décide de garder le secret et le mensonge continue donc jusqu'à son supposé accouchement. 

> Lire l'article de The Mirror (en anglais)

La supercherie ne s'arrête donc pas là : un certain Bran envoie un mail au patron de Robin, et se présente comme étant le père de l'enfant. Il explique que l'accouchement a été compliqué et que le médecin recommande à la jeune mère de se reposer. Le patron suit alors les recommandations du "mari" et octroie 7 mois de congés payés à Robin... qui se faisait en fait passer pour Bran, son "mari" inventé de toute pièce.

Jusqu'à 25 ans de prison 

Mais jusqu'ici, à part le collègue de Robin qui a gardé le secret, personne ne se rend compte de son mensonge. Et donc, de sa fausse grossesse. Jusqu'au jour où Robin envoie des photos de son bébé à ses collègues. C'est alors que ceux-ci remarquent que le teint du bébé varie en fonction des images... Ils se disent que quelque chose ne va pas et contactent les services agréés pour enquêter sur cette histoire. 

Les services du gouvernement chargés d’enquêter sur les allégations de fraude au sein de l’État lancent alors une enquête. Très rapidement, le service réussi à démontrer le mensonge de Robin. Inculpée de 4 chefs d’accusation, elle risque jusqu'à 25 ans de prison. L’affaire sera jugée le 4 avril prochain.

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