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Une journaliste témoigne: "J'ai vu à plusieurs reprises des assistantes de Meghan Markle craquer sous la pression"

Rebecca English, correspondante royale pour le Daily Mail, était "proche" du prince Harry avant son mariage avec Meghan Markle. Elle le suit dans ses déplacements depuis ses premiers débuts et le Prince entretenait avec elle une relation cordiale, jusqu'à l'arrivée de Meghan Markle dans sa vie, où Harry ne l'a même plus saluée.

La journaliste a donné son point de vue concernant les allégations de harcèlement perpétrées par Meghan Markle au temps où elle faisait partie de la famille royale, et elle explique avoir vu à plusieurs reprises des membres de l'équipe des Sussex, en pleurs.

"C'est le seul groupe royal auquel personne ne veut se joindre. Désigné à moitié en plaisantant sous le nom de "Club des survivants du Sussex", le nombre de ses membres ne cesse d'augmenter malheureusement, écrit la journaliste dans un éditorial ce jeudi matin.

"Expériences traumatisantes"

Et de poursuivre: "Ce groupe restreint a une chose en commun: tous ont travaillé pour le duc et la duchesse de Sussex et ont survécu pour raconter l'histoire. Blague à part, certains pensent même qu'ils peuvent avoir développé une forme de stress post-traumatique, défini par les médecins comme un trouble anxieux causé par des événements pénibles ou effrayants. De telles expériences, bien entendu, sont désormais largement reconnues comme ne se limitant pas aux soldats qui ont subi des expériences traumatisantes sur le champ de bataille, mais aussi aux personnes sur leur lieu de travail. Même si ce travail est dans un palais."

"Et aujourd'hui, de nombreux anciens membres du personnel du palais se remémorent le moment où le prince Harry a présenté au monde sa belle, intelligente et passionnée future épouse comme le début de l'une des périodes les plus traumatisantes de leur vie.(...)"

"Il est notoire que quelques semaines après l'arrivée de Meghan en Angleterre et l'annonce des fiançailles du couple en novembre 2017, des rumeurs circulaient sur le comportement "autocratique" et "difficile" du couple".

L'atmosphère au palais est devenue "fébrile".

"Deux évènements intriguants"

Et la journaliste de se souvenir de deux épisodes précis où elle a vu des assistantes de Meghan pleurer.

"J'ai vu une personne sangloter après une journée particulièrement pénible. Elle se sentait clairement brisée émotionnellement et ne pouvait plus faire face à la pression à laquelle elle était soumise."

Aussi, lors du voyage du Prince Harry et de Meghan en Océanie, Rebecca English se souvient d'un fait intriguant auquel elle a assisté.

Le Times, dans ses révélations publiées hier, rapporte comment Meghan a écourté une visite sur un marché aux Fidji parce qu'elle était préoccupée par la présence d'une organisation des Nations Unies pour la promotion des femmes, avec laquelle elle avait déjà travaillé et a clairement indiqué qu'elle ne souhaitait plus avoir quoi que ce soit à voir avec.

À l'époque, les responsables avaient laissé entendre que c'était parce qu'il faisait humide et que la foule était oppressante sur le marché.

Et la journaliste de donner son point de vie: "J'étais là à l'époque et j'ai vu Meghan se retourner et "siffler'' sur un membre de son entourage, clairement folle de rage à propos de quelque chose, et demander de partir. J'ai vu plus tard cette même femme - une membre du personnel très affligée assise dans une voiture officielle, avec des larmes coulant sur son visage. Nos regards se sont rencontrés et elle a baissé les siens, l'humiliation était gravée sur ses traits."

"Les détails sont sujets à conjecture (et sont devenus une sorte de légende du palais) mais ont amené Harry à parler à l'un de ses agents de protection rapprochée, qui a confirmé le comportement de sa fiancée. Mais au fil des semaines, le prince est devenu de plus en plus hostile à ses aides autrefois fidèles".

"Hypocrisie et ironie des Sussex"

Rebecca English a souhaité savoir pourquoi toutes ces révélations sortaient dans le Times avant l'interview vérité des Sussex:  "Les personnes concernées en ont assez de la pure hypocrisie de tout cela. La suggestion qu'ils [les Sussex] étaient intimidés et chassés alors que d'autres subissaient ce traitement de leur part!" s'est exclamée sa source.

Les assistants qui ont brisé l'omerta royale disent qu'ils refusent de rester assis et de regarder le comportement "ambigu" de Harry et Meghan, en particulier lorsque "de bonnes personnes et de brillants professionnels'' voient leur réputation injustement tâchée. 

"Toxique, hostile, méfiant, vénéneux: voici tous les mots que j'ai entendus régulièrement utilisés au cours des dernières années pour décrire les expériences des gens travaillant dans la maison des Sussex", confie la journaliste.

Et de conclure assez ironiquement: "Une source m'a révélé que toutes les personnes concernées étaient des femmes... Alors que Meghan s'est toujours présentée comme une fervente défenseure de la cause des femmes..."

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