Dans la capitale, certains magasins ont été barricadés. Près de la place Louise à Bruxelles, notre journaliste Nicolas Lowyck a, lui, rencontré une commerçante "confiante" qui a décidé d'ouvrir sa boutique sans la protéger.
"On attend et on est confiant. On a appris qu’il y avait un gros dispositif policier", confie-t-elle.
Elle a par ailleurs pris les devants en préférant les paiements par carte aujourd’hui. "Je préfère dans la mesure du possible. Si on doit quitter le magasin, je préfère que la caisse soit vide mais pas de panique", explique-t-elle. "Si il se passe quelque chose, on a une cave dans laquelle on pourra se réfugier. On ne met pas l’équipe en péril. Il y a déjà plein de monde donc on verra."