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Trois quarts des Européens envisagent de partir prochainement en vacances: voici les destinations plébiscitées

Si le coronavirus reste un facteur d'incertitude, les Européens sont toutefois de moins en moins nombreux à adapter leurs projets de vacances en fonction de la pandémie.

Trois quarts (77%) des Européens envisagent de partir en vacances entre les mois d'avril et de septembre, malgré la pandémie et les conséquences de l'invasion russe en Ukraine, ressort-il jeudi d'un sondage de l'European Travel Commission (ETC), qui fédère les agences touristiques d'une trentaine de pays et régions, dont Wallonie Belgique Tourisme et Visit Flanders. Les destinations du sud de l'Europe restent les plus prisées.

Selon cette enquête, menée auprès de quelque 6.000 Européens, un peu plus de la moitié des sondés (56%) désirant partir en vacances resteront en Europe et près d'un tiers (31%) séjourneront dans leur propre pays. Les vacances au soleil et le farniente à la plage rencontrent le plus de succès (22%), devant les city-trips et les séjours plus sportifs à la Côte (tous deux à 15%).

L'Espagne demeure la destination la plus populaire, suivie par l'Italie, la France, la Grèce et le Portugal.

Parmi les répondants belges, 21% projettent de partir au soleil, 17% d'aller à la mer et 16% de se mettre au vert.

Leurs destinations favorites restent la France, l'Espagne, l'Italie, la Grèce et le Portugal. La guerre en Ukraine semble avoir peu d'effet sur le comportement des sondés, même s'ils envisagent de réduire leurs dépenses, constate l'ETC. Ainsi, la moitié des répondants (51%) tablent sur un budget de 500 à 1.000 euros (+8% par rapport au sondage de décembre 2021), tandis que les plus gros portefeuilles (plus de 2.000 euros) reculent de 8%.

A peine un quart des répondants disent avoir déjà réservé leurs vacances, et bien souvent il s'agit d'un séjour prévu à brève échéance. "Le secteur devra s'attendre à des réservations last minute cet été", souligne l'ETC.

Si le coronavirus reste un facteur d'incertitude, les Européens sont toutefois de moins en moins nombreux à adapter leurs projets de vacances en fonction de la pandémie. Parmi les répondants, 14% misent sur des conditions d'annulation flexibles et 13% optent pour des voyages sans aucune restriction due à la pandémie.

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