Le site est d’habitude très vivant avec des séances d’hippothérapie, des visites d’écoles et des stages. Mais depuis le premier confinement, les activités sont quasiment à l’arrêt. Sans rentrées financières, c’est toute la ferme qui est menacée. Pour la faire tourner, il faut entre 15.000 et 20.000 euros par mois. La situation devient critique pour la vingtaine de chevaux, le cheptel d’animaux de ferme et la quinzaine de personnes qui y travaillent.
