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"Enlève la chaise à papy tout de suite": la vidéo déjà culte de la Liégeoise en colère inspire les parodies

Les intempéries ont fait de nombreux dégâts ces derniers jours. Des coulées de boue se sont déversées dans des rues, des maisons et des commerces à plusieurs endroits de Wallonie. Des situations difficiles qui ont apporté leur lot de stress.

Vous avez peut-être vu la vidéo devenue culte du 4X4 qui pénètre dans une rue inondée à Liège et provoque la colère d'une habitante. Dans ces images, on entend une femme, dont l'habitation a été épargnée jusqu'à l'arrivée d'un véhicule qui passe devant chez elle, s'énerver.

Dans sa progression, la voiture entraîne une vague qui finit par pénétrer dans le garage de la Liégeoise. Impuissante face à cette situation, elle se met à crier sur le chauffeur du 4x4. "Mais qu'est-ce qu'il est bête celui-là, faut pas passer hein!(...) Arrêtez, vous allez me faire rentrer l'eau dans la maison! Non di dju, bande de ******* !Il faut réfléchir hein", lance-t-elle avant de menacer le conducteur de porter plainte contre lui.

"Enlève la chaise à papy tout de suite, sinon elle va être trempée", demande-t-elle ensuite à une personne qui se trouve à ses côtés.

Depuis que les images publiées le 27 mai ont refait surface sur les réseaux sociaux, des internautes se sont amusés à réaliser des parodies de la femme victime des inondations. Un certain Antonio Spoto a publié une vidéo dans laquelle il utilise des images de grosses productions américaines sur lesquelles il intègre la voix de l'habitante d'Oreye.

Sur la page Facebook " Le monde de Chris ", une autre parodie intitulée "La chaise à Papy...Titanic" a vu le jour...

Après le buzz suscité par ces images, la victime des inondations s'est confiée à Sudpresse. "J’étais terriblement stressée et énervée par ces inondations", a-t-elle expliqué, précisant qu'elle ne comptait pas porter plainte et qu'elle a dit cela sous le coup de la colère.

Quant au conducteur du 4X4, il a eu peur des éventuels préjudices qu'il pourrait subir. Il s'est également confié à nos confrères de Sudpresse. Ce dernier a expliqué qu'il n'avait pas eu d'autre choix que de passer par cette rue car l'eau était montée d'un coup. "Si je ne bougeais pas, j’étais piégé", a affirmé l'entrepreneur, qui effectuait un déménagement dans le quartier ce jour-là.

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