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Adil Rami se confie sur sa relation avec Pamela Anderson: "Je pourrais la jouer sale, balancer nos sextapes"

"Elle a voulu me fracasser". Quand Adil Rami évoque la fin de sa relation avec Pamela Anderson, il ne mâche pas ses mots. Dans un livre confession qui paraîtra ce 15 octobre, le footballeur revient sur son passé tumultueux aux côtés de l'actrice américaine. Le Figaro a pu consulter en exclusivité cet ouvrage et en révèle quelques extraits. Ces derniers sont repris par nos confrères de Téléloisirs.

"Tout s’effondre alors que je suis dans l’avion pour Paris. Quand j’allume mon portable, j’ai reçu plus de cent messages et des dizaines de notifications…", confie Adil Rami dans son livre, selon le média français. Cet instant désigne celui où Adil Rami découvre, dans la presse, les accusations de son ex compagne. Pamela Anderson raconte qu'Adil Rami a été violent envers elle durant leur relation. "Il a été très cruel avec moi, parfois. Il m'a attrapé les cheveux et jetée par terre à Los Angeles l'été dernier. (…) L'été précédent, il m'a poursuivie partout à Los Angeles et à St Tropez - cet été a été le pire. Il a écrasé mes deux mains. J'ai dû aller à l'hôpital (6 mois après) parce que j'avais très mal", témoigne-t-elle. 

La machine à broyer est en marche

Adil Rami confie avoir été surpris par de telles accusations qui l'ont profondément heurté. "Je suis en lambeaux. Feda, Samir, Nadia, les pleurs de maman, mes amis, la presse pour avoir ma réaction. J’avance en zombie. L’aéroport se retourne. Je suis un monstre, un paria, une immondice. Adil Rami, footballeur polygame et agresseur. Je l’aurais tapée un soir de décembre ? Je lui aurais brisé les poignets ? Porte plainte, je t’en supplie. Trimballe-moi devant les tribunaux, pitié", écrit-il dans son livre. 

Le sportif réfute toute accusation de violence et assure que Pamela s'était blessée lors de sa participation à Danse avec les stars. Elle souffrirait d'une tendinite. Il poursuit: "La machine à broyer est en marche. Mais je ne montre rien, je ne me défends pas, je ne balance rien. Je pourrais la jouer sale, assumer le carnage puisqu’elle a mis ma famille dans la tempête, balancer nos sextapes, ses mails, ses poèmes, ses sms fous d’amour qui l’atomiseraient médiatiquement (...)". 

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