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Quand Laëticia aidait Johnny Hallyday à combattre ses démons: "Elle a veillé sur lui comme un ange", assure un proche

Phénomène médiatique depuis l'âge de 17 ans, après une enfance difficile, Johnny avait confié être souvent pris d'angoisse quand il se retrouvait seul dans sa chambre d'hôtel après ses concerts.

Dans une interview accordée à France Dimanche et reprise par Closer, Robin Le Mesurier, l'ex-guitariste de Rod Stewart, se confie. Il raconte comment Laëticia Hallyday a accompagné et pris soin de son époux pendant plus de 20 ans. "Elle a vraiment une belle âme. Elle a veillé sur lui comme un ange, avec une grande douceur. À ses côtés, Johnny a calmé le jeu. Je ne l'ai jamais vu fumer un joint et encore moins prendre une ligne de coke... Pour lui, tout ça, c'était du passé. Seul l'alcool, restait son péché mignon, mais pas autant qu'on pourrait le croire. À côté des artistes que j'ai côtoyés, il était vraiment raisonnable", a-t-il indiqué. 

Dans une interview choc publiée dans le Monde en 1998, Johnny Hallyday parlait ouvertement de ce qu'il appelait sa "vie de destroyance". Grand fumeur, il confessait avoir consommé de l'opium et du hachisch et pris de la cocaïne. "J'en ai pris longtemps en tombant de mon lit le matin. Maintenant, c'est fini. J'en prends pour travailler, pour relancer la machine, pour tenir le coup", disait-il, confiant avoir dû prendre "beaucoup de cocaïne" pour accoucher des paroles de "La musique que j'aime". "Il faut que j'aille mal pour savoir que je pourrais aller bien. J'ai besoin d'être au fond du trou pour remonter. Je sens le danger", expliquait-il. Johnny Hallyday était depuis toujours taraudé par la peur de la mort, de la maladie et, surtout, de la solitude.

Il avait assaini son mode de vie

Phénomène médiatique depuis l'âge de 17 ans, après une enfance difficile, il confiait souvent être pris d'angoisse quand il se retrouvait seul dans sa chambre d'hôtel après ses concerts. Insomniaque, il a longtemps entraîné ses amis dans d'interminables et alcoolisées virées nocturnes.

Ces dernières années, il assurait avoir assaini son mode de vie, mais passait encore de longues nuits à regarder des classiques américains dans les salles de projection installées dans ses villas de Marne-la-Coquette, près de Paris, Saint-Barthélémy, dans les Antilles françaises, ou Los Angeles. 

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