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Greg Guillotin avoue avoir trafiqué une de ses caméras cachées pour TPMP

Ce lundi, l'humoriste Greg Guillotin, qui réalise des caméras cachées pour Touche pas à mon poste, est venu s'excuser sur le plateau d'en avoir trafiqué une.

Depuis le 7 mars dernier, une caméra cachée de Greg Guillotin, qui officie notamment dans Touche pas à mon poste, est au cœur d’une polémique. Dans la vidéo, diffusée dans l’émission de Cyril Hanouna, on peut voir l’humoriste se promener dans les bois en compagnie d'une poupée pour effrayer les passants. Et ça marche puisqu’un joggeur panique complètement.

Mais selon un internaute qui réalise lui aussi des vidéos, Tsukiyo Power, le joggeur effrayé est en fait un acteur engagé par Greg Guillotin. "Ce n'est pas une caméra cachée, parce que la caméra n'est pas cachée du tout", insiste Tsukiyo.


"Il fallait que je fasse mon mea culpa"

Cyril Hanouna a fait venir Greg sur le plateau de TPMP lundi pour qu’il réponde à ces accusations. "C'est pour ça que j'ai eu envie de venir ici: il fallait que je fasse mon mea culpa. Tu le sais Cyril, la caméra cachée, c'est très très long à faire, très compliqué. D'habitude on se donne un mal de chien pour faire nos caméras cachées...", a-t-il expliqué.


"Je comprends que certaines personnes puissent douter maintenant de l’intégrité de nos autres caméras cachées"

Greg a ensuite précisé que le recours à un comédien était exceptionnel, mais qu’avec l’absence de Camille Combal cette semaine-là, son équipe et lui avaient été surchargés de travail et n’avaient pas eu le temps de passer autant de temps qu’ils l’auraient espéré sur cette caméra cachée. "Je comprends que certaines personnes puissent douter maintenant de l’intégrité de nos autres caméras cachées, mais je tiens à rassurer les gens", a-t-il insisté.

L’humoriste a également indiqué que réaliser des caméras cachées était de plus en plus difficile à cause de la notoriété que lui apporte Touche pas à mon poste. Cyril Hanouna a apprécié que Greg fasse son mea culpa, mais lui a demandé de lui parler la prochaine fois qu’il aurait un problème de surcharge de travail.

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