Accueil Sport

Conférences de presse, rencontres avec les joueurs, parties de kicker...: voici comment se passent les journées des journalistes belges au camp d'entraînement des Diables Rouges

Le centre d'entraînement et de presse créé pour notre équipe nationale se situe à une trentaine de kilomètres de Moscou. Il est entouré d'imposantes mesures de sécurité. Nos envoyés spéciaux en Russie y recueillent chaque jour les impressions des Diables Rouges.

Le programme est chaque jour le même. L’entraînement des diables est ouvert aux médias, ce qui représente une occasion pour nos journalistes de filmer notre équipe nationale, mais cela ne dure qu’un petit quart d’heure. "Ensuite ça se passe derrière des bâches à l’abri des caméras pour que l’équipe puisse se préparer en toute sérénité et en toute discrétion. À ce moment-là, les journalistes sont invités à rejoindre l’espace de presse qui se trouve de l’autre côté et qui a été spécialement aménagé pour accueillir les journalistes avec des kickers pour se détendre et tout ce qu’il faut pour que les journalistes puissent faire leur travail", a expliqué notre envoyé spécial Nathanaël Pauly.


"On voit que tout a été fait pour les journalistes"

Fini le temps où les journalistes rencontraient les Diables dans leur hôtel. Le centre construit pour l’occasion accueille les conférences de presse du coach et des joueurs. C’est un lieu de travail sobre, fonctionnel et mieux équipé qu’au Brésil il y a 4 ans. "Il y a des télés pour suivre les matchs, franchement, on voit que tout a été fait pour les journalistes. On ne peut pas dire que ce n’était pas le cas avant, mais au Brésil, le Wifi était vraiment très mauvais, on ne savait pas travailler, ça rajoutait du stress", s’est rappelé Michael Francken, journaliste La Dernière Heure/Les Sports.


Dispositif de sécurité important

Le lieu est isolé et entouré de murs de 4 mètres de haute. Autre particularité : le dispositif de sécurité est important. "On comprend bien, on est dans une période un petit peu sécuritaire, c’est un petit peu contraignant pour nous, mais on vient ici suffisamment tôt pour ne pas être en retard", a relativisé Bruno Fahy, photographe de l’agence Belga.

Le centre accueille chaque jour une soixantaine de journalistes belges. Mais plus le tournoi sera long pour les dDables, plus la presse étrangère y sera présente.

À la une

Sélectionné pour vous