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Autour des Diables Rouges, c'est une véritable infrastructure qui est mise en place. La salle de presse est remplie de journalistes qui suivent l'équipe nationale lors de la Coupe du Monde. Pour l'instant, ils sont plus d'une soixantaine à rédiger leurs articles depuis le centre média. Beaucoup de belges, mais la presse étrangère sera également là pour suivre le parcours des belges en Russie.
Pierre Cornez est le porte-parole de l'équipe nationale. "Il y a de belles accommodations qui ont été réalisées pour accueillir les journalistes de la meilleure des manières".
Beaucoup de journalistes attendus
"Il y a déjà beaucoup de journalistes qui sont présents. il y a des journalistes belges en grand nombre, des journalistes russes et d'autres nationalités également. On sait que cela va évoluer au fur et à mesure du tournoi. Le troisième match des Diables les verra affronter l'Angleterre, on s'attend à une grosse affluence de journaliste anlgais au camp de base", ajoute-t-il.
"On avait déjà réalisé un très bon centre média au Brésil. Je pense que les infrastructures étaient déjà très bonnes. On a essayé d'améliorer cela aux championnats d'Europe. Ici, on est au même niveau qu'à Bordeaux. Je pense que personne ne peut se plaindre des infrastructures qui permettent aux médias de travailler dans de bonnes conditions, ce qui est très important".
La différence importante entre la Coupe du Monde au Brésil et la Coupe d'Europe en France, est la sécurité, qui permet aux Diables de s'entraîner en toute sérénité.
