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Pour Felice Mazzu, il est difficile d'expliquer une telle défaite, mais il reconnaît que son équipe a peut-être trop respecté son adversaire du jour: "On a été éliminés quasiment dans tous les secteurs, on a manqué d'agressivité (...) On a été deuxièmes sur le ballon, on a commis quasiment aucune faute dans un match d'une telle intensité, à partir de ce moment-là l'adversaire a beaucoup plus facile à nous éliminer".
Il faudra tirer des leçons de ce match. "On doit tirer des leçons par rapport au niveau de la Champions League et être beaucoup plus réalistes dans nos préparations de match contre de telles équipes et être beaucoup plus réalistes sur le terrain".
Le coach de Genk garde un souvenir amer de cette première expérience en C1. "Vous croyez que vous avez bien préparé votre match, que vos joueurs sont prêts mais après une minute trente, ça devient déjà embêtant, ça restera un très mauvais souvenir pour le futur".
Un match particulier face à Naples
Pour son deuxième match en Ligue des champions, Genk affrontera Naples le 2 octobre prochain. Un match qui aura une saveur particulière pour Felice Mazzu, originaire du sud de l'Italie. "C'est un club italien, tout le monde connaît mes origines et mes racines, c'est aussi un événement particulier car la grande majorité du public à Genk est d'origine italienne".
Ce match face à Naples, sera également l'occasion pour Mazzu de se retrouver face à Carlo Ancelotti, un entraîneur que l'ancien de Charleroi admire.