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Tim Merlier "est peut-être trop gentil, mais ne veut tuer personne"

Tim Merlier (Soudal Quick-Step) était déçu après sa deuxième place lors de la Classic Bruges-La Panne et en voulait au vainqueur Japser Philipsen (Alpecin-Deceuninck). "Si j'avais poussé, Philipsen serait passé par-dessus les barrières et j'aurais pu aussi me retrouver à terre. De plus, on m'aurait alors fait des reproches. Je suis peut-être un garçon trop gentil, mais je ne veux tuer personne."

"Vu les circonstances, je n'ai pas vraiment eu l'opportunité de disputer mon sprint et je suis déçu de ne pas avoir gagné. Mais peut-être devrions-nous tous être heureux parce que personne n'est allé au sol dans les 250 derniers mètres. C'était un sprint très mouvementé. Sprinter signifie de prendre des risques, cela encore été prouvé aujourd'hui. C'était un sprint dangereux. Il y aurait pu avoir quelques clavicules cassées ici ou pire."

"Peut-être que cela aurait été mieux si j'avais commencé le sprint à droite, mais j'étais du côté gauche. Je ne pouvais pas changer de direction sans perdre mon élan."

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