Le public s'était massé au pied de l'Atomium durant cette nuit de la Saint-Sylvestre pour assister au feu d'artifice. Dans la capitale, où l'usage de ces feux par des particuliers étaient interdits, quelques incidents sont à déplorer.
Le Nouvel An en Belgique rime notamment avec le traditionnel feu d'artifice à Bruxelles. Il devrait être tiré depuis le pied de l'Atomium. Des milliers de personnes sont attendues pour admirer le spectacle pyrotechnique. Mais, les conditions ne sont pas idéales, il y a pas mal de vent ce mardi soir. Certaines villes flamandes ont d'ailleurs décidé d'annuler ou de reporter leur feu d'artifice par mesure de précaution.
Nous vous en parlions il y a quelques jours, la venue de deux influenceurs français à Bruxelles a créé un mouvement de foule. IbraTV et HMI étaient, entre autres, venus distribuer des cadeaux à leurs fans. Dans des vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, on voit des agents de police recevoir des présents.
La venue des influenceurs IbraTV et Hachemi a provoqué des troubles à l'Atomium, ce lundi soir. La police a dû utiliser des canons à eau pour calmer la foule présente en masse.
Selon une étude commandée par une chaîne hôtelière, l'Atomium de Bruxelles se hisse à la cinquième place des sites touristiques européens les plus populaires sur Instagram. Avec plus de 448.000 hashtags, il s'impose comme un symbole belge incontournable.
Alexandre Bouglione, figure emblématique du cirque en Belgique, revient sur les défis rencontrés par sa troupe, entre évolutions du spectacle, contraintes logistiques et impact du plan "Goodmove" sur leur public.
Cela fait 66 ans qu’elle représente la Belgique, et c'est loin d'être fini. L’Atomium a encore de beaux jours devant elle, en partie grâce aux cordistes qui l’entretiennent tout au long de l’année.
Environ une centaine de personnes ont marché dimanche après-midi le long du boulevard du Centenaire, au pied de l'Atomium à Bruxelles, afin de dénoncer le phénomène des rodéos urbains, particulièrement fréquent sur le plateau du Heysel depuis plusieurs années. Impuissants face aux nuisances répétées, les manifestants appellent les responsables politiques à prendre des mesures structurelles.