Près de la Grand-place de Mons, ce vendredi matin, un véhicule a fait plusieurs blessés. Selon les premières informations, cela s’est passé entre 3h et 4h du matin dans la rue d’Havré et les policiers sont arrivés en masse sur place.
Une voiture aurait foncé dans plusieurs autres véhicules garés sur la route et aurait percuté plusieurs personnes qui circulaient à pied. Les habitants ont été réveillés par les bruits : "Des bruits de frein à main, des collisions, on entendait une voiture rentrer dans les murs, dans les autres voitures. Une fille était blessée à côté d’une voiture, mais on n’a pas dérangé les secours qui travaillaient".
Selon des témoins, le conducteur aurait entre 18 et 20 ans et conduisait une voiture française. 7 personnes en tout ont été touchées.
Une riveraine témoigne également. "On a d'abord cru que le bruit venait de gens qui continuaient le doudou. Puis on a entendu des cris de femmes, et en regardant par la fenêtre, j’ai vu plusieurs personnes. L’un d’entre eux m’a dit qu’ils s’étaient fait rouler dessus, pourtant, c’est une rue sans voiture".
Un acte volontaire ?
Mais effectivement, une trace de pneu était visible sur le jeune homme, explique-t-elle. "On les a fait rentrer chez nous, et ils étaient très choqués". Le véhicule, arrivé en contre-sens sur la Grand-place, a roulé sur les jeunes en voulant faire des manœuvres.
"Ça a été vite", témoigne une autre riveraine. "On a eu l'impression que ça mettait énormément de temps parce qu'on appelle les services de secours et on ne sait pas trop ce qui s'est passé, mais ça a été relativement vite".
"Cela semblait être un jeune, en t-shirt avec une casquette. Il avait l'air sous influence, contrairement aux victimes, qui avaient sûrement bu un verre, mais qui étaient totalement cohérentes".
D'après les témoins, c'était très certainement un acte volontaire. "On leur a carrément foncé dessus, d'après ce qu'ils m'ont dit. Quand le véhicule est arrivé dans ma rue, il a fait demi tour au frein à main et il a roulé sur le jeune homme qui était blessé".


Un monde de fous; je vous dis: de plus en plus de violences inutiles, futiles, si on n'a pas de motif, on s'en invente un: C'est un monde de stress, de peur, d'énervement ou tout va trop vite et trop loin; bref; un monde du mal de vivre: Et ça ne fait que commencer !!!