Six membres d’une même famille sont portés disparus. Un pasteur protestant apparaît comme suspect. Sa fille, violée à de multiples reprises, racontent tout à la police. Des ossements sont retrouvés dans la cave. L’un des plus machiavéliques et des plus sombres dossiers de l’histoire criminelle belge commence à s’écrire en lettres de sang. C'est la dernière histoire judiciaire de notre série de l'été consacrée aux grandes affaires criminelles belges. Un contenu exclusivement réservé aux utilisateurs de notre application.
Au dernier jour du procès, le pasteur est invité à prendre la parole, c’est le droit des accusés. Il se lève et ouvre une chemise cartonnée dans laquelle il a rangé des pages et des pages de notes. "J’en ai pour plusieurs heures", dit-il. Le président lui demande de se limiter aux faits. Pandy réagit: "J’entends exercer mes droits. Mon avocat m’a dit que je pouvais parler autant que je voulais."
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