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Kristel et ses amis payent 13.000 euros pour des vacances de rêve... qui tournent au cauchemar: "L'eau des robinets puait"

Trois familles avaient cassé la tirelire pour s'offrir des vacances mémorables, uniques. Après le covid et 3 années sans voyager, Kristel, son mari et leurs amis décident de casser la tirelire et de louer un château en Toscane.

Ils se réjouissaient de passer des vacances idylliques dans ce château de rêve, sous 35 degrés... Sauf qu'une fois sur place Kristel et son mari, qui étaient partis en avance, avant le reste du groupe, ont découvert le carnage : 

Imaginez-vous rouler 15 heures pour découvrir une piscine vide, une autre avec une couleur verdâtre, des mauvaises herbes partout... mais le cauchemar continue, à l'intérieur de la maison. L'eau du robinet était sale et malodorante, les prises de courant pendaient au mur et il y avait même encore de la nourriture moisie dans plusieurs pièces : le tout pour un budget de 13 000 euros.

"L'eau des robinets puait", confie Kristel à nos collègues du Laatste Nieuws. "Le propriétaire disait qu'il y avait des problèmes et qu'il avait mis des gros tonneaux dehors pour qu'on puisse se laver. Il n'y avait pas d'électricité et des excréments un peu partout".

De ce fait, les vacanciers ont décidé de ne pas rester sur place : ils ont dû dormir une première nuit dans leur voiture et surtout trouver un plan B en contactant le site de réservation en ligne.

Seulement, un mois plus tard, ils sont toujours sans réponse et le château en question est encore disponible sur le site. "On nous avait dit qu'on allait revenir vers nous rapidement. On était un peu perplexe. Depuis, nous avons envoyé des dizaines de mails, sans réponses..."
 

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Commentaires

2 commentaires

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  • Ne JAMAIS faire confiance aux sites de réservation en ligne ! "on n'achète pas un chat dans un sac" !

    roger rabbit
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  • ça doit faire mal au cul, je comprends !! cependant ...il y a une solution ...vous connaissez le proprio ....alors vous avez la solution ...la mienne ! il y a des hommes je suppose parmi vous ?

    paul leboulanger
     Répondre