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Dans l'entourage du socialiste, on confirme en effet la tenue d'un "acte de procédure consistant à lever les scellés sur les pièces saisies à la suite de la perquisition du 5 février" mais sans qu'aucune audition ne soit prévue. Jean-Claude Marcourt a assisté à la levée de ces scellés.
Début février, des perquisitions avaient été menées dans les bureaux de Jean-Claude Marcourt au Parlement de Wallonie et à son domicile liégeois. Le président de l'assemblée régionale est suspecté d'être l'une des "mains invisibles" ayant avalisé les décisions stratégiques du groupe Nethys, dont le versement d'indemnités de rétentions aux ex-dirigeants de la société.