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Une voiture allemande de 1300 kg et 400 chevaux, avec des courbes et une ligne généreuse, attendait notre journaliste dans la pitlane.
"Nous avons quatre voitures mises à la disposition des clients et ceux-ci ont le choix d’être passager ou d’être le pilote", explique Philippe Cornelis, instructeur professionnel.
Sensations fortes garanties donc, mais avant une vérification de la pression des pneus s’est imposée.
"C’est important, car le freinage passe par là, tout comme l’accélération et la tenue de route dans les virages", précise Marc Delobe, également instructeur professionnel.
D’habitude, il est d’usage d’utiliser la combinaison ignifugée sportive, mais en tant que stagiaire, notre journaliste a porté un pantalon et une chemise manches longues, sans oublier son casque. Il a ensuite reçu un briefing obligatoire sur le circuit.
"Dans la pitlane, on ne peut pas dépasser les 60 km/h", ajoute Philippe Cornelis. Les choses sérieuses ont ensuite débuté dès le Raidillon. "On a une sensation d’écrasement dans le siège", indique notre journaliste.
150 euros par passager pour trois tours
Pour vivre cette aventure, comptez 150 euros par passager pour trois tours de piste ou 600 euros pour piloter à côté d’un instructeur.
Après trois tours, notre journaliste a pris le volant avec une concentration maximale et a suivi les instructions à plus de 200km/h. Après 20 virages, il s’est faufilé dans le peloton et a osé quelques dépassements.
Après dix minutes intenses sur la piste, il est retourné dans les stands.
Par ailleurs, chaque année, 20 à 30 journées de pilotage sont organisées dans les circuits de Spa-Francorchamps, de Mettet et de Zolder, pour les entreprises ou tout simplement pour le plus grand plaisir des passionnés.
