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XV de France: "On n'attend que ça", lance Vahaamahina

"On n'attend que ça": le XV de France et leur deuxième ligne Sébastien Vahaamahina ont "hâte" d'être samedi et à leur premier match de Coupe du monde, contre l'Argentine à Tokyo.

"On n'attend que ça. Il faut être patient, on a tous hâte d'être samedi" a déclaré Vahaamahina à la presse mercredi, jour de départ pour les Bleus qui quittent Fujiyoshida, où ils sont arrivés le 8 septembre, pour la capitale japonaise, quelque 130 km plus à l'est.

"On a envie de commencer la compétition, de vite arriver au match. J'espère avec la victoire", a embrayé Rabah Slimani.

"Il y a de l'envie et de l'excitation. Surtout de mettre en place ce qu'on a travaillé depuis près de deux mois" a abondé Maxime Médard.

Slimani y croit dur comme fer avant ce match déjà décisif pour la qualification en quarts de finale: "On connaît nos forces. Ca va être très dur, il y a souvent des surprises à la Coupe du monde. On l'a encore vu en 2015. Mais je donne rendez-vous à samedi, après on verra."

Après viendra la rencontre face aux Etats-Unis (2 octobre), puis les Tonga (6), et enfin le dernier match de poules, contre l'Angleterre (13 octobre).

Aussi, les Bleus ne sont pas uniquement focalisés sur le rendez-vous face aux Pumas. "On s'est dit ne pas rester que sur ce match. Tout le monde nous parle de l'Argentine mais on ne sait pas ce qu'il peut arriver contre les Anglais. On se dit qu'il faut gagner les quatre matches", a souligné Vahaamahina.

Comme n'importe quel "compétiteur, tu entres sur le terrain pour gagner tous les matches", poursuit le Clermontois, pour qui les Bleus se sont fixés des "objectifs en plusieurs étapes". Jusqu'à la finale le 2 novembre.

Il les a énumérés: "Sortir des poules, gagner le quart de finale, la demi-finale et être champion du monde. On a tous envie d'être champions du monde. Vous n'avez pas envie d'être champion du monde des journalistes, vous? Nous, c'est pareil. C'est notre passion, notre métier, et on a envie d'être champion du monde."

Pour l'instant, les Bleus et Gaël Fickou ne ressentent "pas trop la pression". "On rigole beaucoup, on prend énormément de plaisir en dehors du terrain. On est très détendus, sereins à l'entraînement, on a confiance en nous" a développé le centre.

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