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"Il faut donner toutes les chances possibles à une reprise de Van Hool, peu importe sa forme", réagit lundi la branche Malines-Campine de la fédération patronale flamande Voka. Le constructeur de bus de Lierre (Anvers) se dirige vers une faillite. "Si une reprise n'aboutit pas, il faudra se tenir prêt à mettre tout en oeuvre pour conserver les travailleurs et la valeur ajoutée dans la région", ajoute le Voka.
Van Hool a confirmé lundi que le plan de sauvetage ne pourrait pas être réalisé. Le seul scénario plausible est donc une faillite, suivie d'une reprise des activités.
Il faut tout faire pour y parvenir, martèle la fédération patronale flamande. Les travailleurs qui resteraient sur le carreau suscitent déjà de l'intérêt, se félicite-t-elle. "Sur les deux dernières semaines, 251 entreprises se sont présentées. Toutes sont décidées à offrir un avenir aux salariés de Van Hool. Qu'un repreneur soit trouvé ou non, il n'est pas question d'organiser un exode des travailleurs", assure la branche locale du Voka.
