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En politique, comme en amour, un mot de travers suffit pour que tout bascule. Certains politiciens se sont remis de leur maladresse, d'autres se justifient encore ou ont dû abandonner leur mandat en cours. Retour sur les gaffes les plus célèbres de nos élus.
Une décision irréfléchie ou quelques mots de travers relayés par la presse et une carrière peut être entachée à jamais. Comme l’écrit le quotidien Le Soir, pour un politicien expérimenté, ce n’est pas trop grave, mais pour un jeune qui fait ses premiers pas, ce peut être fatal. Retour sur quelques erreurs de jeunesse qui ont rendu des élus populaires ou ont signé l'arrêt de leur carrière politique. La douche de Marie Arena Voilà une salle de bains dont on aura entendu parler. Fin 2004, les journaux du groupe Sud Presse annoncent que la socialiste Marie Arena, à la tête de la Communauté française, va débourser 300.000€ pour rénover son cabinet. Cet aménagement comprend la construction d’une douche qui deviendra plus célèbre que la ministre même. Bien que le montant soit dans la norme, cette affaire aura réellement entaché sa carrière politique. La ministre tentera, en vain, de se justifier lors d’émissions télévisuelles diverses. Yves Leterme, champion toutes catégories Notre Premier ministre est connu internationalement pour avoir entonné la Marseillaise au lieu de la Brabançonne, et ce, un an après avoir déclaré au quotidien Libération que les francophones n’étaient "apparemment pas en état intellectuel d’apprendre le néerlandais ", rappelle Le Soir. Ces épisodes, couplés à ses démissions du poste de Premier ministre, lui ont forgé une image de gaffeur aux yeux de nombreux Belges. Anissa Temsamani ment sur son CV Cette socialiste néerlandophone aura fait un mandat express en tant que secrétaire d’Etat. Deux mois seulement après l’avoir entamé, elle démissionne. En effet, Anissa Temsamani a prétendu détenir un diplôme de candidature en sciences commerciales alors qu’elle ne possédait que celui d’études secondaires.
