« On sait qu’à Bruxelles, en partie à cause de la criminalité liée aux stupéfiants, on possède une marché des armes très florissant où il devient de plus en plus facile de se procurer des armes à feu de guerre », a explique Nils Duquet, directeur de l’Institut flamand pour la paix, dans le magasine C’est pas tous les jours dimanche.