La thèse initiale du suicide par strangulation avait été remise en cause ce vendredi dans l'affaire de la mort suspecte d'une femme de 46 ans dans un commissariat de police à Bruxelles le mois dernier, rapportait un article de la RTBF qui se basait sur plusieurs sources. L'état d'ébriété de la victime, évoqué après les faits, ne figurait pas dans le rapport administratif de la police. Conctacté par nos soins, le parquet confirme toutefois que la thèse de "l'auto-strangulation" reste la plus crédible.