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"On pense toujours que les gros sont des porcs": les confidences cash de Valérie Damidot sur son poids

Valérie Damidot n’a jamais franchement mâché ses mots et quand il s’agit de parler de son physique, cette réalité se confirme. Devenue ambassadrice pour la marque Weight Watchers, elle revient sur le devant de la (vraie) scène avec un spectacle intitulé "Valérie Damidot s’impose", un spectacle dans lequel elle se livre sur son parcours et ses obstacles. Ses confidences ont commencé dans une interview piquante accordée à nos confrères de Gala, principalement axée sur son physique.

Dans cette entrevue, l’ancienne présentatrice de D&Co explique avoir commencé à prendre du poids après la naissance de son fils "il y a presque 28 ans". "J’ai eu un problème de thyroïde. J’avais pris 12 kilos, ce qui n’est pas grand-chose puisque le poids de mon fils était de 4 kilos. Et en fait, après ça, j’ai commencé à grossir, grossir, grossir. Et on s’est rendu compte que j’avais un problème d’hypothyroïdie", explique-t-elle. Cette prise de poids, difficile à freiner puisque liée aux hormones, lui fait prendre jusqu’à prendre 30 kilos. "Il y a un truc génial quand tu grossis, c’est qu’on pense toujours que les gros bouffent, que ce sont des gros porcs. On ne pense jamais à un problème hormonal, à une maladie, à un dysfonctionnement", se désespère Valérie Damidot avant d’évoquer le monde des médias et "les questions des journalistes qui faisaient des détours sur mon physique 'atypique'". "Je n’avais pas non plus une queue de dragon sur la gueule", plaisante-t-elle. 

Elle semble fière aujourd’hui de son évolution mais continue de constater: "On m’en a bien mis dans la gueule". "Il y a une grossophobie permanente dans les métiers d’image, qui est taboue, en plus du jeunisme." Puis elle en analyse la raison: "Les gens veulent voir des physiques qui leur ressemblent. Les filles ne veulent pas culpabiliser dès qu’elles allument la télé". Et finit par balancer: "M6 m’a embauchée parce qu’ils étaient à la recherche, je cite, d'Une Marianne James de la déco". En gros, une petite grosse sympathique parce qu’à l’époque Marianne James faisait La Nouvelle Star et qu’elle plaisait beaucoup. Moi, j’étais la bonne pote, j’étais en salopette dégueulasse avec de la peinture, j’apprenais à bricoler." 

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