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Depuis le début de leur querelle avec la famille royale, les Sussex ont prouvé qu'ils pouvaient frapper fort. On se souvient du documentaire du couple sur Netflix, ou encore des mémoires du prince Harry. La monarchie anglaise en a pris pour son grade. Tout ça a commencé avec une interview jugée "explosive" de Harry et Meghan face à Oprah Winfrey en mars 2021.
Quand ils ont su que cet entretien aurait lieu, tous les Windsor n'auraient pas réagi de la même façon. C'est ce qu'a révélé Charlotte Griffiths, rédactrice en chef du Mail on Sunday, lors d'une intervention sur la GB News. Elle explique que la reine Elisabeth II serait restée plutôt calme, attendant de visionner cette fameuse interview alors que le prince William en était "littéralement malade d'inquiétude".
Elle en dit plus: "Il ne mangeait pas et il est devenu – pas reclus – mais il se cachait. Il est allé dans une résidence royale pendant un certain temps pour se couper du monde. Il était juste en morceaux." Quand le fils aîné de Charles III a eu besoin de s'isoler, il a pu compter sur son épouse, toujours selon les informations de Charlotte Griffiths: "Ce que faisait Kate, c'était de se tenir aux côtés de son homme. Kate m'a dit : 'Je dois le défendre et le protéger. Il est en train d'être détruit par ça'." Selon la rédactrice en chef, cet événement a même, en quelque sorte, changé le statut de la princesse: "Cela l'a probablement rendue assez inflexible, même si elle a cette réputation d'être timide."
L'effet d'une bombe
La diffusion de l'interview prouve que le mari de Kate Middleton a eu raison de s'inquiéter. Outre les accusations de racisme, la duchesse de Sussex s’est confiée sur sa dépression et ses idées suicidaires, tandis que son mari dit avoir été "déçu" par son père, le désormais roi Charles III. De quoi mettre dans une colère noire son frère aîné. La reine, de son côté se serait contentée de qualifier cette séquence de "bêtises télévisuelles".
