Actuellement, le secteur de la construction compte 14.000 postes vacants, indique mardi la fédération de la construction Embuild. "Le problème, c'est qu'une entreprise sur cinq limite ses offres à cause de cette pénurie de main-d'œuvre", explique Niko Demeester, le CEO d'Embuild. "C'est pourquoi il est plus que temps de revaloriser l'enseignement dans le domaine de la construction et d'orienter davantage la politique d'emploi sur l'activation, la formation et le redéveloppement."
A peine 4% des entreprises sondées par Embuild, n'ont pas de difficultés pour recruter du personnel.
37 % des entreprises recherchent des ouvriers du bâtiment, 19 % des chefs de chantier, 11 % des profils élevés dans le domaine de la construction, 7 % des ouvriers du bâtiment pour des projets de rénovation énergétique et 5 % des profils pour l'utilisation de nouvelles technologies dans la construction.
Quelles solutions pour les entreprises?
Dans un premier temps, les entreprises de construction et d'installation tentent de remédier à ce manque de personnel en travaillant avec des sociétés sous-traitantes belges (24 %) ou étrangères (20 %). 21 % des entreprises limitent leurs offres, car elles ne pourront pas réaliser le travail à cause de la pénurie de collaborateurs et 17 % commencent leurs chantiers en retard, explique Embuid qui a sondé 200 entreprises.
Embuild souhaite que de plus en plus jeunes s'intéressent aux opportunités d'emploi. Embuild mène donc une campagne d'image qui s'étendra sur dix ans afin de moderniser l'image de la construction. Avec cette campagne intitulée "Nous construisons demain", le secteur vise expressément les jeunes.
Arête de salir les jeune chauffeur . roumain travaille 5 ans pour patron 1000 euro le mois puis travaille pour 5000 euro je croit que il ont besoin de Romain polonais sa fait 20 ans m’aime cinéma