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L'élévation du niveau de la mer, le recul des glaciers, la chaleur des océans... Tout ça ne fait qu’augmenter et on vient d’ailleurs de connaître la décennie la plus chaude jamais enregistrée.
Ce genre d'infos, nous les entendons souvent, elles tournent constamment dans notre tête. Résultat, l’éco-anxiété s’implante de plus en plus dans notre quotidien et voici comment la réguler.
D’abord, petite définition : l’éco-anxiété, c’est ce mélange d’émotions négatives provoqué par les menaces environnementales et ça, 48 % des 18-34 ans le ressentent. C’est donc un nœud et pour le défaire, il faut commencer par le comprendre.
Tout d'abord, gérer les différentes émotions qui le composent et surtout, en parler autour de soi. Vos émotions deviennent donc beaucoup plus faciles à gérer.
Ensuite, inutile de se concentrer sur ce qu’on ne peut pas contrôler. Si vous n’êtes pas une organisation internationale, par exemple, difficile de changer les lois depuis votre salon : mieux vaut donc se concentrer sur ce que vous pouvez faire, à votre échelle et surtout faites quelque chose qui vous plaît. Par exemple, question environnement : si vous n'aimez pas le vélo, prenez les transports en commun.
Enfin, s’informer sur le sujet, c’est primordial : jouer à l’autruche est une mauvaise idée, mais tout est dans l’équilibre. Mieux vaut s’écouter, savoir quand notre cerveau en a trop et peut-être attendre l'après-midi avant de lire le rapport du GIEC et pas juste avant de se coucher.
