Geneviève Lhermitte a donc demandé, et obtenu, l'euthanasie en raison de souffrances psychologiques. C'est un cas de figure prévu par la loi qui encadre les fins de vie assistées. En Belgique, l'euthanasie n'est donc pas seulement réservée aux patients atteints d'une pathologie incurable.