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Après Julien Doré et Benjamin Biolay, Michel Fugain se lâche et continue de descendre des chanteurs français

Michel Fugain a, semble-t-il, une dent contre nombre de ses pairs! En 2008, l'interprète de C'est la fête qualifiait Benjamin Biolay de "pire des petits cons" et a depuis continué à envoyer des piques au chanteur. Cela a été le cas notamment dans une interview accordée à Sudinfo en 2022, dans laquelle il se demandait "à quoi il sert".
Michel Fugain est revenu plus tard sur ses dires dans les colonnes de Vanity Fair en reconnaissant qu'il avait certes été "sanguin" mais qu'il ne "supportait pas cette étiquette de 'nouvelle chanson française'".

Cette même année 2022, Michel Fugain s'en est également pris à Julien Doré et à ses "cheveux longs". Il a confié à Ciné Télé Revue que sa musique ne lui parlait "pas plus que le rap" et qu'elle "manquait d'émotions".

Réponses sur les réseaux

Ces tacles ont évidemment obtenu réponses. Julien Doré s'est contenté de poster sur les réseaux sociaux un extrait particulier d'un grand tube de Michel Fugain, aux paroles équivoques: "Je n’y crois pas, je n’y crois plus, je suis perdu. Fais comme l’oiseau. Ça vit d’air pur et d’eau fraîche, un oiseau". Une touche de second degré dont l'auteur de Coco câline a le secret.
Benjamin Biolay, quant à lui, avait répondu sur Instagram: "Moi non plus je n'aime pas ce que tu fais monsieur Michel Fugain, mais je ne me sens pas obligé de te harceler par presse interposée depuis 2008".

D'autres artistes dans le viseur

Et le clash a continué ce lundi 17 avril dans Télé-Star. Michel Fugain a continué de s'agacer contre la nouvelle génération de chanteurs français; mais pas que. "Je fustige certains types de comportements quand ce n'est pas compensé par un apport fait à notre métier. La chanson est un art majeur, contrairement à ce que disait Gainsbourg. Le mercantilisme est néfaste à la création. Réarranger un titre ou refaire ce qui a déjà été fait ne sert à rien", a-t-il lancé… Avant de mentionner d'autres artistes: "Polnareff je ne l'ai jamais côtoyé. Je l'ai croisé une fois dans un cinéma. C'est tout. Delpech, un garçon fragile. Je l'aimais beaucoup. Il avait le contact facile, on sentait le mec intelligent, ce que je n'ai pas senti chez Polnareff par exemple..."  
Un inventaire de la chanson française qui devrait continuer à faire des remous… 

 

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