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Cette semaine, dans Top Chef, les candidats devaient confectionner une entrée, un plat ou un dessert avec la note la moins élevée possible. Pour cela, ils se sont rendus au marché et chacun y est allé de sa petite méthode pour que cela ne leur coûte pas trop cher. Certains comparent les prix : "On est un euro moins cher par rapport à là-bas", lance Jean, en quête de clémentines. "C'est des petites économies qui, bout à bout, font la différence", ajoute-t-il.
Idem pour Alexandre : "Vos oignons, ils sont à combien ?". "3,95", lui répond le maraîcher. Un peu plus loin, il en trouve à 1,20 euro. "Et ben voilà ! Non mais l'autre !"
Albane, Mathieu et Léo se laissent quant à eux tenter par les produits les moins onéreux pour réaliser leur recette : "Je prends la cervelle parce que c'est le moins cher", lance Léo. "C'est quoi votre poisson le moins cher", demande Mathieu au poissonnier. Il repart avec des sardines.
Quant à Sarika, n'achète pas une botte entière de céleri : "Zéro gaspi, je prends que ce dont j'ai besoin". Idem pour Carla : "Je vais prendre une échalote", dit-elle au maraîcher. "Une seule échalote ?", s'étonne-t-il. Hé oui, Carla ne veut "pas dépenser" inutilement.
À leur arrivée à la cuisine de Top Chef, Stéphane Rotenberg fait les compte : ceux qui ont la note la plus élevée ne peuvent pas cuisiner. C'est le cas de Jean, Léo et Jeremy, qui n'ont carrément pas pu prendre part à la suite de l'épreuve. Les autres se sont affrontés pour séduire les grands chefs sur cette thématique du gastronomique économique.
