Ça serait du jamais vu: une nouvelle rumeur annonce que le PSG pourrait perdre son coach... dès cet été

Les années passent et le Paris-Saint-Germain continue de repousser les limites du divertissement sur la planète foot. Avec des transferts recors et des polémiques à n'en plus finir, le club de la capitale française ne cesse de faire l'actualité depuis l'arrivée des dirigeants qataris. 

Parmi les polémiques récurrentes, celle de l'entraîneur revient tous les ans. C'en est presque devenu systématique, si l'entraîneur en place échoue à remporter la Ligue des Champions, il est remplacé à la fin de la saison ou presque. Mais une nouvelle rumeur vient bouleverser cette petite routine annuelle. 

Alors que les Parisiens ont réussi à attirer Luis Enrique, ancien coach à succès du FC Barcelone, ce dernier pourrait quitter le club... dès cet été. C'est ce que révèle le journal Marca.

Le média espagnol rapporte ce jeudi soir que l'ancien sélectionneur de la Roja envisagerait de quitter Paris dans les prochaines semaines, pour plusieurs raisons. La principale étant le mauvais climat qui règne au sein du club à cause de l'affaire Mbappé. 

Le joueur français a été écarté par son club, car il refuse de prolonger son contrat. Ce "duel" entre le clan Mbappé et la direction du club ne plairait que très moyennement à Enrique. 

Autre élément qui pourrait pousser l'Espagnol à un départ prématuré, le possible départ du directeur sportif Luis Campos. Des rumeurs rapportées par les médias français affirment que Campos pourrait quitter le navire en cas de départ de Kylian Mbappé. Les deux hommes étant très liés. 

Enfin, Rafel Pol, préparateur physique et membre privilégié du staff de Luis Enrique. En proie à des soucis personnels selon l’article, il pourrait quitter Paris rapidement, ce qui ajouterait de la difficulté à Luis Enrique pour mener à bien sa mission.

Face à cette nouvelle rumeur, le club a réagi en les qualifiants de "ridicules" et "sans aucun sens". Le principal intéressé a publié une photo sur son compte Instagram sur laquelle il a écrit, en Français, "un pour tous et tous pour un". Une possible manière d'affirmer son implication.