Accueil Actu Belgique Faits divers

20 ans du procès Dutroux (2/10) : "Il y avait deux gamines assises sagement sur le divan", les premiers mots de l’accusé évoquent le complot

Le 1er mars 2004, il y a tout juste vingt ans, commençait le procès Dutroux et consorts. Ce procès historique allait, espérait-on, faire toute la lumière sur cette affaire qui empoisonnait la Belgique depuis l’été 1995. En juin de cette année-là, Julie et Melissa disparaissaient. Un an plus tard, Dutroux, son épouse et deux présumés complices étaient arrêtés. Deux victimes, Sabine et Laetitia étaient libérées. Vingt ans plus tard, revenons sur les 10 moments clés de ce procès désormais inscrit dans l’histoire. Aujourd'hui, nous abordons les premiers mots prononcés. 

Au troisième jour de son procès, Marc Dutroux parle. Debout durant trois heures, il s’excuse de son attitude du premier jour, puis il raconte d’une voix nasillarde et monocorde son enfance, ses relations familiales conflictuelles, ses courtes études…Enfin, il en vient aux faits. Dans la salle, les murmures se taisent, les cous se tendent en direction du box de verre. "Fin juillet, je suis arrivé à la maison. Il y avait deux gamines que je ne connaissais pas assises sagement sur le divan. Nihoul, Weinstein et Lelièvre étaient à table. Michelle Martin m’a...

RTL Info

Cet article est à lire en exclusivité sur notre application

Je télécharge l'app RTL info pour continuer ma lecture.

Je me redirige vers l'app RTL info pour continuer ma lecture.

Je me redirige vers l'app RTL info pour continuer ma lecture.

Télécharger l'application

À la une