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Des informations troublantes arrivent du Moyen-Orient concernant les otages en Israël, avec des allégations, des revendications de démission et des tentatives de négociation.
Des chiffres contradictoires surviennent concernant le sort des 250 personnes prises en otage le 7 octobre, avec des rapports indiquant que 129 seraient encore détenues par une organisation terroriste, dont 34 auraient perdu la vie, selon des responsables israéliens.
Les familles d'otages continuent de se mobiliser, exigeant des réponses de la part des autorités israéliennes. Ces familles réclament aussi la démission du Premier ministre, suite à la découverte du corps d'un des otages, Elad Kedmi, retrouvé à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Selon les renseignements israéliens, il aurait été tué en captivité par l'organisation terroriste Jihad Islamique.
À la suite de cette tragédie, des manifestations de grande ampleur ont eu lieu à Tel Aviv, avec des milliers de personnes réclamant la démission de Benyamin Netanyahou, qu'ils jugent responsable de la mort des otages. Des allégations graves ont été formulées à son encontre, l'accusant d'avoir abandonné les otages et d'être incapable d'obtenir un accord pour leur libération.
Le gouvernement israélien fait part de sa détermination à éliminer le Hamas, alors que l'organisation terroriste réclame un cessez-le-feu et un retour des déplacés vers le nord de Gaza. Parallèlement, des négociateurs américains et qataris se rendent au Caire dans l'espoir de trouver une issue pacifique à cette tragédie qui perdure depuis sept mois.
