Il y a tout juste un an, démarraient les premières actions des agriculteurs en Belgique. Ils revendiquaient notamment de meilleurs revenus et une simplification administrative. Un an plus tard, quel est le bilan de ces manifestations ? Sont-ils toujours en colère ? Un an plus tard, voici où en sont Baptiste et Olivier, présents lors de ce mouvement.
Les agriculteurs belges bloquent plusieurs postes-frontières pendant 24 heures pour dénoncer l’accord du Mercosur, discuté lors d’un sommet en Uruguay. Ils pointent des normes sanitaires et environnementales inégales qui menacent leur compétitivité et la qualité des produits européens.
Les frontières belges et françaises seront probablement bloquées par endroits ce mercredi 4 décembre. Les agriculteurs y annoncent des actions pour protester contre l'accord de libre-échange UE-Mercosur. Ils dénoncent une concurrence déloyale et l'importation de produits à des normes moins strictes, à la veille d'un sommet clé en Uruguay et d'une décision européenne attendue en décembre.
Les agriculteurs sont de retour dans les rues. Entre des heures de travail doublées, un accès à la terre de plus en plus coûteux et une grande disparité de revenus au sein de la profession, les raisons de leur mobilisation sont multiples. Mais que gagnent-ils réellement ?
Ce mercredi, les agriculteurs européens manifesteront à Bruxelles contre l'accord Mercosur et pour protester contre le manque d'aide face à la fièvre catarrhale, qui a emporté bon nombre de bétail. Sans soutien de la part des autorités, ces trois agriculteurs n'ont trouvé d'autres solutions que de manifester.
De nouvelles actions d'agriculteurs européens sont attendues ce mercredi dans la capitale. Depuis des mois, ils manifestent leur désarroi, sans soutien de la part des autorités.
Une trentaine d'agriculteurs ont manifesté, samedi après-midi, leur mécontentement devant l'administration communale de Bièvre, où se trouvait le ministre fédéral de l'Agriculture et bourgmestre empêché de Bièvre, David Clarinval (MR). Cette manifestation s'inscrivait dans la continuité des actions déjà menées par la Fédération des jeunes agriculteurs (FJA), dans la nuit de vendredi à samedi, sur les routes wallonnes.