Luis Rubiales a défendu mardi devant la justice espagnole le baiser imposé à Jenni Hermoso, affirmant qu'il était consenti et niant toute pression exercée sur la joueuse.
Le parquet, qui, en Espagne, présente ses conclusions avant le procès, réclame une peine de deux ans et demi de prison à son encontre. L'acte d'accusation précise que le baiser sur la bouche a été effectué "par surprise et sans le consentement ni l'acceptation de la joueuse".