Bart De Wever assistera dimanche à Rome à l’intronisation du pape Léon XIV aux côtés du roi Philippe, de la reine Mathilde et de nombreux dirigeants mondiaux, dont JD Vance, Giorgia Meloni et Zelensky.
Ce samedi, Bruxelles s'habille aux couleurs arc-en-ciel à l'occasion de la marche des fiertés, la Pride. En plus des associations militantes pour les droits LGBTQIA+, seront présents les politiques. Quel parti y sera? Les politiques ont-ils leurs chars?
La Chambre a adopté jeudi en séance plénière la proposition de loi qui met fin à la loi de sortie du nucléaire de 2003, mais pour les écologistes, ce vote n'est qu'"une opération de communication qui ne changera strictement rien à la vie des Belges".
Le MR est-il trop dur envers la Palestine ? Dans l'Invité de 7h50 sur bel RTL, Martin Buxant a interrogé le ministre Mathieu Bihet sur les conditions strictes posées pour la reconnaissance d'un État palestinien.
Le ministre de la Mobilité, Jean-Luc Crucke (Les Engagés), a appelé mardi à poursuivre "strictement" les individus à l'origine de l'alerte à la bombe qui a temporairement paralysé l'aéroport de Charleroi (Brussels South Charleroi Airport).
La Belgique pourrait tourner une page clé de sa politique énergétique. Une loi portée par le gouvernement Arizona, qui sera soumise au vote ce jour, vise à lever l'interdiction de recourir au nucléaire, enterrant ainsi la décision historique de 2003 actant la sortie progressive de l’atome. Pour les partisans du nucléaire, ce texte marque un tournant stratégique majeur.
Le gouvernement belge a finalement acté une position commune sur le conflit israélo-palestinien, en suivant l'initiative de la France. Sans parler de génocide et en évoquant une reconnaissance mutuelle d'Israël et de la Palestine, la Belgique adopte une position "classique", selon le politologue Tanguy de Wilde d'Estmael.
La suppression de la loi de 2003 sur la sortie du nucléaire ouvre la voie à un retour de l’atome dans le mix énergétique belge, mais sans garanties concrètes à court terme.
La limitation des allocations de chômage est validée par le Conseil d'État. L'institution, qui donne un avis juridique sur les décisions politiques, ne voit pas de problème fondamental dans cet avant-projet de loi.
Ce mardi, Benoit Lutgen, député à la Chambre des représentants, était l'invité de Martin Buxant dans le bel RTL Matin. Il est revenu sur les incidents survenus après la finale de la Coupe de Belgique et propose plusieurs mesures pour que ces faits n'arrivent plus.
La Belgique s'apprête-t-elle à reconnaitre l'existence de la Palestine ? Si l'Arizona s'est entendue sur une résolution, la reconnaissance semble encore bien lointaine.
Après d'intenses négociations, les groupes politiques de la majorité à la Chambre ont abouti mardi soir à un accord sur une proposition de résolution relative au conflit israélo-palestinien et à la situation dans la bande de Gaza.
Le gouvernement belge acte une position commune sur le conflit israélo-palestinien, sans parler de génocide et en repoussant la reconnaissance d’un État palestinien à plus tard.
L'accord de gouvernement a été scellé il y a maintenant 100 jours. Bart De Wever s'est exprimé dimanche soir sur RTL Info. Il a répondu à Martin Buxant pour évoquer plusieurs dossiers de son début de mandat. Il a évoqué notamment la réforme des pensions indispensable, selon lui, vu l'état des finances que lui a laissé le gouvernement précédent. Il a également expliqué qu'il risquerait de mettre la région bruxelloise sous tutelle en question de "déficit excessif". Une interview qui a suscité pas mal de réactions, notamment de la part de l'opposition. Ils ont un point de vue bien différent sur le début de mandat de l'équipe de Bart De Wever.
Face à l'absence de gouvernement à Bruxelles un an après les élections et une dette régionale qui gonfle au fur et à mesure, Bart De Wever, Premier ministre, veut placer la région Bruxelles-Capitale sous tutelle. Pour Ahmed Laaouej, chef de file PS au Parlement bruxellois, la mesure n'est pas réalisable. Il dénonce le discours d'un "vrai leader séparatiste".
Dans une interview exclusive, le Premier ministre Bart De Wever dresse son premier bilan. Il est notamment revenu sur sa relation avec Donald Trump et sur ce qu'il pensait du président américain.
Après 100 jours à la tête du gouvernement, Bart De Wever défend ses réformes économiques "dures, mais nécessaires". Interrogé par notre journaliste politique Martin Buxant, il pointe du doigt l'héritage budgétaire laissé par la coalition Vivaldi.
« première page‹ récents414243444546474849anciens ›dernière page »