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Le boxeur belge Ryad Merhy prêt à en découdre face à l'Américain Kisner: "Cela va être un combat explosif"

Un combat à suivre en direct sur Club RTL ce samedi soir dès 22h20.

Ce ne sont pas moins de dix combats professionnels qui seront au programme du traditionnel rendez-vous de la boxe belge au Spiroudome de Charleroi, ce samedi soir. Wabaga, Khatchatryan, Paglierini, Toma, Nova, Hubeaux, Kouaouch, Vanackere Jr, Nikarkoev et enfin Ryad Merhy qui figurent à l'affiche.

C'est évidemment le combat de Ryad Merhy, invaincu en 23 combats, face à l'Américain Nick Kisner (26) qui sera le point d'orgue de la soirée. Quatre fois champion intercontinental des lourds légers, le Bruxellois de 25 ans accède enfin au top 10 mondial mais le chemin qui conduit au titre suprême est encore semé d'embûches.

C'est que l'Américain Nick "Slick" Kisner qui se dressera devant lui n'est pas le premier venu. "Cela va être un combat explosif. Lors de la pesée, mon adversaire ne voulait pas lâcher mon regard donc il est déterminé. Il n’est pas venu faire de la figuration", a confié Ryad Merhy à notre micro. 


"Comme ma deuxième maison"

Concernant la tactique à adopter, le boxeur belge dit partir dans l'inconnu. "Cela sera une tactique à l’instinct. Je vais le jauger durant les deux premiers rounds puis on va voir ce que ça donnera. De ce que j’ai pu lire, il a une bonne réputation et un beau palmarès au niveau amateur. Au niveau pro, son palmarès est propre", affirme-t-il. "Je pense que c’est un gars qui peut surprendre sur certains coups donc je devrai rester à l’affût et être très attentif."

Ryad Merhy se prépare par ailleurs depuis de nombreuses semaines pour ce combat. "Je suis dans un moment de ma carrière où je dois être à l’affût. Je peux peut-être 2-3 semaines de repos entre chaque phase d’entraînement. Depuis début octobre, je me prépare pour ce match", explique-t-il. 

Le lieu du combat reste très spécial pour le boxeur. "C’est là que j’ai remporté mon premier titre. C’est comme ma deuxième maison. Cela fait six mois que je n’ai plus combattu. J’ai besoin de sentir cette pression", conclut-il.

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