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Cela fait déjà bientôt deux ans que la chanson “Bruxelles je t’aime” d’Angèle est sortie. C’était celle de son grand retour, comme nous l'explique Nicolas Lowyck dans l'émission "En Coulisses", sur Bel RTL.
Le 21 octobre 2021, Angèle dévoilait sa déclaration d’amour à notre capital. Un morceau qu’elle a composé à Paris, coincée dans son appartement en plein confinement Covid, là où elle a composé la majorité de ses tubes, entourée par ses claviers. Et cette chanson avait un but : rappeler au monde entier que, non, Angèle n’est PAS Française, mais qu’elle vient bien de ce petit pays, dont les Américains ne retiennent jamais le nom.
Pas si simple
C’est un morceau qui a l’air plutôt simple, comme ça, et pourtant. Angèle a expliqué avoir enregistré une 30 aine de versions, avec 17 refrains différents, 14 basses différentes et 8 batteries différentes. Elle s’est donnée à fond, car elle souhaitait que "Bruxelles, je t’aime" soit une sorte de réponse à un grand classique très important pour elle, explique notre journaliste Nicolas Lowyck.
Dick Annegarn comparait déjà un peu Bruxelles à Paris en 1974: on sent bien le rapport entre les deux chansons. C’est d’ailleurs, entre autres, grâce à sa reprise de "Bruxelles"
tout court qu’Angèle a commencé à gagner en popularité sur les réseaux sociaux en 2016.
"Tout a changé pour elle"
Et cette reprise a changé beaucoup de choses pour elle puisque c’est en l’écoutant que le rappeur Damso l’a contactée en 2017, d’abord pour inviter la jeune femme en première
partie de ses concerts. Puis, quelques années plus tard, on le sait, en signant un duo, autre tube de l’album "Nonante-Cinq".
Rapidement, la chanson est devenue un vrai phénomène.
Dont on n’a peut-être pas tout de suite saisi l’ampleur. Mais, dans le clip, par exemple, dans lequel Angèle s’éclate à bord d’un train, ses looks ont fait mouche. Notamment son long manteau bleu très oversize, comme dirait Cristina. Rapidement, les sites de mode ont tous indiqué où on pouvait s’en procurer un similaire.
