Alors que le métier d'infirmier est en pénurie, une étudiante en dernière année dans une école à Bruxelles dénonce les conditions de stage. Selon cette jeune femme, les stagiaires doivent souvent effectuer des tâches ingrates, ce qui nuit à la qualité de l'apprentissage. Et ils doivent payer des frais alors que le stage n'est pas rémunéré. Cette situation provoque, selon elle, un sentiment d'exploitation. Ce témoignage reflète-t-il la réalité? Peut-on parler d'une situation généralisée? Quels efforts ont été réalisés par le secteur pour améliorer la qualité des stages?
C'est une entreprise technologique wallonne qui a le vent en poupe : le concept Biotrax. Il aide les infirmiers à domicile dans leurs prélèvements, offrant une assistance pour une meilleure sécurité et une plus grande efficacité, tout en réduisant les tâches administratives.
Pour les écoles d’infirmiers, deux constats préoccupants se dégagent. Les inscriptions diminuent de 15 à 20 % chaque année, et de nombreux étudiants abandonnent en cours de formation. Pourquoi le secteur n’attire-t-il plus les jeunes ?